Bonjour dames, et Damoiseau ! ,

Je vais vous conter une histoire qui m’est arrivée hier… vous savez en général, comme dit mon mari, ce n’est jamais monotone avec moi ! ! ! Vous allez comprendre pourquoi ?

Donc hier après-midi, je m’apprêtais à repartir travailler et j’allais prendre mon bus comme tous les jours vers 13 h 30. Or, en sortant de mon immeuble, je vois mon bus qui me passe sous le nez… Zut, Flûte, et encore je suis polie…
En désespoir de cause, je pars chercher ma voiture et je me dépêche de démarrer pour rattraper le bus et pouvoir ainsi me garer à l’entrée de Chambéry, où le stationnement n’est pas payant. Aussitôt dit, aussitôt fait, je me gare, le bus arrive et je files ensuite travailler.

La journée se passe sans problème, mais avec pas mal de visites à l’agence et du téléphone…

Je quitte mon bureau vers 17 h 30 pour rejoindre mon domicile comme d’habitude et je chemine tranquillement jusqu’à l’arrêt de bus. Banal … me direz-vous… Et oui, je m’installe dans le bus, je prend mon bouquin qui ne quitte pas mon sac, et me plonge dedans… Je n’ai pas pensé un seul instant qu’il fallait que je m’arrête pour reprendre ma voiture. Au cours du trajet, une de mes amies monte dans le bus et nous commençons à papoter toutes les deux… Nous parlons de nos enfants et du permis de conduire… car son fils venait de le passer et avait réussi l’examen. D’un seul coup, comme par magie, je m’exclame devant elle : « Et M…., j’ai laissé ma voiture à Chambéry ! » Je peux vous confirmer qu’elle a bien rigolé, surtout que le bus arrivait au Village ! Quid ?

Pas de bus pour Chambéry avant 18 h 15, (il était déjà 18 h 00), et j’avais un autre rendez-vous à 18 h 30 : je ne voyais que deux solutions : soit mon cher et tendre mari en rentrant d’Albertville me prenait à la sortie de mon rendez-vous, soit ma voiture restait « couchée » à Chambéry … En désespoir de cause, j’ai préféré repartir avec Jean Claude à Chambéry vers 19 h 15 et j’ai ramené ma voiture au bercail ! ! !

Le mot de la fin, je le laisse à mon mari, qui m'a dit : "ca encore, tu me l'avais pas fait !"

Et oui, comme quoi, on ne s'ennuie pas chez la famille GAUZIN !